finance et comptabilité - quel impact de la mondialisation sur les institutions locales
 
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cours de la comptabilité générale
cours de la compta G
دروس في المحاسبة العامة
comptabilité financière

Université d’Oran

Ecole doctorale d’économie et de management

Première année Magistère en Management.

Option : Finance

Séminaire : gouvernance d’entreprise et des institutions.

 

 

 

Exposé sur 

 

Quel impact de la mondialisation sur les institutions locales ? Analyse globale

Cas de deux institutions : l’université et PME en Algérie

Font Face aux mutations mondiales

 

Présenté par :     KHELIFA  hadj                                                                                  Sous la direction :

                                                                     P. Abderrahmane MEBTOUL

 

Juin 2008

 

 

Sommaire

Introduction. Générale…………………………………………………………………...3

Problématique…………………………………………………………………………...5

L’objectif de cette recherche………………………………………………………………5

La démarche poursuivie………………………………………………………………….5

 

Section (1): analyse globale de la mondialisation.

 

q  Introduction……………………………………………………………………6

q     qu’est-ce que la mondialisation?.........................................................................6

q     Rappelle historique de la mondialisation (grandes étapes)…………………….7

q     Les acteurs actuels de la mondialisation……………………………………….8

q     Rôle des institutions dans les processus de la mondialisation………………....9

q     Les principaux défis de la mondialisation……………………………………..10

q     Conclusion de la section……………………………………………………… 11

 

Section (2) : les institutions Algériennes face au processus de mondialisation.

 

q Introduction………………………………………………………………………13

q     les réformes institutionnelles engagées par l’état Algérienne pour faire face la mondialisation………………………………………………………………......13

q     les PME face aux défis de la mondialisation……………………………………14

q     l’impact de la mondialisation sur les PME……………………………………..14

q     les réformes institutionnelles pour faire face la mondialisation. (réforme de l’université)…………………………………………………………………...

q     l’impact du processus de la mondialisation sur le fonctionnement de l’institution universitaire Algérienne………………………………………………………

q     Conclusion de la section……………………………………………………...

 

Section (3) : la mondialisation et le nouveau système fondé sur la dominance de la finance et du savoir.

 

q  Introduction………………………………………………………………………

q  Mondialisation et acquisition des savoirs………………………………………...

q  Le rôle de la finance dans l’émergence et la diffusion de l’économie du savoir…

q  les interactions entre finance et connaissance au cœur des contradictions internes du capitalisme contemporain………………………………………………

q  Conclusion…………………………………………………………….

 

La conclusion générale.

Bibliographies.

Introduction générale:

 

 

La mondialisation et gouvernance sont deux enfants des années 90, du monde de l’après guerre froide. La coupure politique la plus massive, le rideau de fer entre l’est et l’ouest ayant disparue, la terre semble être une, la mondialisation s’épanouit. La mondialisation peut être définie comme un processus multiséculaire de contraction de l’espace et du temps, par multiplication des flux et des réseaux entre toutes les parties de la planète.

Le monde est en train de devenir un unique immense marché. Certains disent que le monde est devenu un village.

Tout le monde parle de mondialisation, mais sait-on précisément en quoi elle consiste?

La mondialisation fait référence à un processus qui se caractérise par:

1. l’expansion des télécommunications et des technologies de l’information;

2. la réduction des barrières nationales au commerce et à l’investissement;

3. L’accroissement des flux de capitaux et l’interdépendance des marchés financiers.

À travers de ce phénomène, l’Algérie a connu des mutations considérables dans toutes les domaines dont, économiques, gouvernance, et institutionnelles, où ce phénomène a obligé l’Algérie d’effectuer plusieurs réformes, d’entre elles les réformes relatives aux universités en générale et la qualité des enseignements en particulier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La problématique :

1)- Qu’est-ce que la mondialisation?

2)- quels sont les acteurs de la mondialisation ?

3)- quels sont les défis de la mondialisation ?

4)- Dans un contexte d’ouverture et de mondialisation, quelle est la place de        la petite et moyenne entreprise algérienne (PME)?

5)- quel est l’impact de la mondialisation sur les institutions Algériennes?

6)- quelles sont les réformes économiques et institutionnelles engagées par l’état Algérien pour adapter ce phénomène ?

 

L’objectif de cette recherche :

L’étude du phénomène comme la mondialisation est très important parce qu’elle constitue le sujet d’actualité, notamment l’influence de ce phénomène sur les institutions Algériennes, tant que l’Algérie a connu des mutations considérables dans toutes les domaines, dont institutionnelles, économiques, sociétaires…etc.

Donc, cette importance réside dans :

·        Comprendre les liens entre la mondialisation, les nouvelles technologies, et la restructuration de l'enseignement supérieur et de la recherche.

·        Connaître l’impact de ce phénomène sur les institutions Algériennes en générale et l’université en particulier.

·        Les mutations et les réformes économiques et institutionnelles engagées par l’état Algérienne pour faire face ce phénomène.

La démarche poursuivie :

Pour aborder tous les points relatifs à cette recherche, j’ai préféré l’utilisation la démarche descriptive analytique, en appuyant sur les idées et les données déduites de certains ouvrages,  et des revues.

 Section (1) : analyse globale de la mondialisation :

 

Introduction :

Le monde est en train de devenir un unique immense marché. Certains disent que le monde est devenu un village et Tout le monde parle de mondialisation, mais sait-on précisément en quoi elle consiste? Et que signifie à ce nouveau né ?

 

Qu’est-ce que la mondialisation ?

 

·        L’expert international Abderrahmane MEBTOUL défini la mondialisation comme « un état historique du développement du capitalisme dont le processus n’est pas achevé. Elle concerne un certain stade de développement des échanges, de biens et services, d’intégration des marchés financiers et d’extension de la multinationalisation des appareils productifs, de diffusion de connaissances technologiques et de comportements de consommation »[1].

·    ROBERTSON, la définit « comme un processus multiséculaire de contraction de l’espace et du temps, par multiplication des flux et des réseaux entre toutes les parties de la planète »[2].

La mondialisation n’est pas seulement un phénomène économique, elle favorise aussi les échanges culturels et technologiques. Aujourd’hui, l’accélération des moyens de communication favorise, par exemple, la diffusion des nouvelles découvertes scientifiques et des savoirs faires.

 

·        BERCY BARNEVIK : la définit « la mondialisation comme la liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possible en matière de droit du travail et de conventions sociales »[3].

·            Le FMI définit la mondialisation comme étant l’interdépendance croissante de l’ensemble des pays du monde, provoquée par l’augmentation du volume et de la variété des transactions transfrontalières de biens et de services, ainsi que des flux Internationaux de capitaux, en même temps que par la diffusion accélérée et généralisée de la technologie.

·        La mondialisation est un phénomène avec lequel nous devons vivre et composer. Le monde est en mutation et les changements ne se feront pas sans difficulté. Nous entrons dans un monde ou les nouvelles technologies de l’information, des télécommunications et des façons de faire vont prédominer dans nos sphères d’activités à tous les niveaux (économiques, sociaux, culturels,…)

 

q   Rappelle historique de la mondialisation :

 

o                   1944: Naissance de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International

o                   1947: Conférence de la Havane pour la création d’une organisation Internationale du Commerce

o                   1947: Création de l’accord douanier et du Commerce: le GATT (Général Agreement on Tarifs and Trade) par 33 pays invités par les Américains

o                   1959: Association Européenne de libre-échange (7 pays Europe de l’Ouest).

o                   1960: Association  latino-américaine de libre-échange (7 pays d’Amérique du Sud)

o            1977: Association des Nations d’Asie du Sud- Est, 5 pays

o            1989: Accord de libre-échange Canada-États- Unis, 2 pays

o            1992: Signature de l’Aléna (Canada-États-Unis-Mexique) et mise en œuvre en 1994.

o            1994: Signature à Marrakech d’une entente instituant l’OMC (Organisation mondiale du commerce).

o           1998: Espace Économique Européen Et depuis zone hémisphérique des Amériques (Amérique du Nord, Centrale et du Sud), Coopération économique Asie-Pacifique, etc.

 

 

 

q    Les acteurs actuels de la mondialisation:[4]

 Ces acteurs considèrent comme du moteur de la mondialisation et ses piliers D’entre ces acteurs, on trouve :

 

*    L’état : même si l’état-nation voit ses prérogatives  grignotées du fait même de ce processus de mondialisation l’état demeure un acteur principal de l’ouverture au monde.

*    La banque mondiale : la mission de la banque mondiale est d’encourager les pays pauvres à réaliser leur potentiel économique et à s’insérer dans la dynamique mondialiste.

*    Le fonds monétaire international (FMI) : il veille au bon  fonctionnement du système monétaire international, principal pilier des échanges commerciaux.

*    L’organisation mondiale du commerce (OMC) :   pièce maîtresse du processus de par son engagement profond dans la libéralisation progressive des échanges commerciaux.

 

q    Rôle des institutions dans les processus de la mondialisation:

Les institutions nationales et internationales, qui sont inévitablement influencées par les différences de culture, jouent un rôle important dans le processus de mondialisation. Le mieux est peut-être de laisser un commentateur externe faire part de ses réflexions sur ce rôle :

«...que l'avènement de marchés des produits de base ou de marchés financiers hautement intégrés se soit accompagné de tensions commerciales et de problèmes d'instabilité financière ne devrait pas être une surprise, ...... La surprise est que ces problèmes ne soient même pas plus graves aujourd'hui, étant donné le degré si élevé de cette intégration.

«L'une des explications possibles est le rôle stabilisateur des institutions mises en place dans l'intervalle. À cet égard, il convient de mentionner, au niveau des pays, les dispositifs de protection sociale et financière et, au niveau international, l'OMC, le FMI sur le contrôle bancaire. Ces institutions sont peut-être loin d'être parfaites, mais mieux vaut les avoir à en juger par la relation historique entre le degré d'intégration d'une part et le volume des litiges commerciaux et le niveau d'instabilité financière d'autre part.».

 

 

q    Les principaux défis de la mondialisation[5]:

La controverse fleurit sur les conséquences actuelles et potentielles de la mondialisation. Bien des dilemmes sont identifiables et, dans de nombreux cas, les réponses sont floues. De nombreux secteurs, mais aussi des individus concernés par l’impact négatif de cette évolution - militants,

Érudits, économistes, chercheurs et sociologues - ont identifié les problèmes suivants, comme autant de défis à relever:

1. La réduction de la souveraineté de l’Etat: Tandis que les gouvernements maîtrisent de moins en moins les décisions clés qui peuvent toucher leur économie et par conséquent le bien-être de leurs populations, les compagnies multinationales les plus puissantes, les structures intergouvernementales et les institutions financières privées ont une influence croissante et tendent à prendre la place des gouvernements. Voilà ce qui explique la forte réduction de souveraineté des Etats; leur rôle traditionnel est redéfini.

2. “Economiquement ciblé”: Les considérations économiques prennent le pas sur les considérations politiques et sociales. Alors que les entreprises privées et les organisations intergouvernementales - internationales ou régionales - s’imposent dans la gestion des affaires, se dessine le risque que prévalent les considérations économiques et financières sur les questions fondamentales d’ordre social, sanitaire ou environnemental.

3. Le manque de transparence et de responsabilité: Les gouvernements, les institutions publiques et les autorités bancaires nationales qui ont traditionnellement pour mission de décider de l’avenir de leurs pays et de leurs peuples, ont vu s’éroder cette responsabilité. Si leurs actions et décisions sont généralement contrôlées, puisqu’ils sont démocratiquement responsables, il n’en va pas de même pour les entreprises multinationales ou les institutions internationales et régionales. S’agissant de violations des droits de l’homme, par exemple, il est presque impossible d’engager leur responsabilité et de contrôler leurs initiatives. En outre, dans beaucoup de ces instances, le manque de transparence des mécanismes de prises de décision est remis en question.

Ainsi, il arrive qu’à l’OMC les décisions se prennent à huis-clos après des processus complexes de négociations informelles ou formelles.

4. “Toujours moins: Avec la libéralisation des échanges, les multinationales tendent à délocaliser leurs activités dans les pays leur offrant de meilleurs avantages comparatifs.

D’un point de vue pratique, cela signifie des salaires plus bas pour les travailleurs, un droit du travail moins strict, des conditions de travail plus flexibles, un droit environnemental inexistant ou non-appliqué, des impôts réduits et des charges sociales allégées, mais aussi l’absence d’assurance chômage, de sécurité sociale, etc. Dans ces circonstances, il est facile de conclure que les droits de l’homme sont les premières victimes de ces pratiques, notamment - mais pas seulement - les droits économiques et sociaux des travailleurs dans les pays d’accueil qui sont confrontés à de difficiles conditions

Sociales et économiques et ont besoin des investissements étrangers pour réactiver leurs économies déjà fragilisées.

5. L’homogénéisation: Certains soutiennent qu’une société unique et intégrée, fondée sur des modes de vie sociaux et culturels standardisés, nous conditionnerait à manger les mêmes mets, écouter les mêmes musiques et regarder les mêmes films, où que nous vivions et quelle que soit notre nationalité. Cette situation nierait la spécificité de chaque pays et violerait nos droits à jouir de nos propres cultures.

 

 

Conclusion de la section :

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                     

 


Section (2) : les institutions Algériennes face au processus de mondialisation :

 

 

q    Introduction :

 

L’Algérie a connu une mutation économique  et institutionnelle très importante en raison du passage de l’économie administrée à l’économie de marché à partir de la fin des années 80. C’est dans un contexte politico-économique très difficile, marqué par une instabilité institutionnelle et une crise sécuritaire grave qu’une série de réformes -encore inachevées – ont permis au secteur privé de voir jour. Sitôt né, le jeune secteur privé doit évoluer dans un cadre institutionnel instable, et en Même temps faire face au phénomène de mondialisation qui le menace sérieusement.

 

Les PME face aux défis de la mondialisation :

A l’image des tous les pays émergents l’Algérie connaît des transformations institutionnelles importantes depuis une dizaine d’année, sur fond de crise sécuritaire qui a largement pénalisé l’essor des PME algériennes. Mais si le cadre institutionnel instable, voir chaotique a retardé l’essor des entreprises, il a en même temps freiné et découragé les investissements directs étrangers, qui restent à un niveau très faible et concentrées principalement dans le secteur des Hydrocarbures, secteur particulièrement encadré et protégé par l’Etat.

Depuis 2000, le pays profite d’une conjoncture économique favorable en raison de l’envol du prix des hydrocarbures, et l’Etat en profite pour réaliser une politique de grands travaux à travers un plan de relance économique et de soutien à la croissance, ainsi que divers programmes promotion de la PME/PMI.

 

 

L’impact de la mondialisation sur les PME :

-         Accords internationaux et nouvelles contraintes

-         Changements technologiques rapides

-         Commerce intra-firme et intra-industrie

-         Mobilité des capitaux.

-         Croissance importante des investissements étrangers

-         Rôle des grandes entreprises.

-         Accès rapide aux connaissances et marchés des divers pays

-         Écart grandissant des richesses et salaires

-          Nouvelles politiques économiques

 

-         EFFET POSITIFS ET NÉGATIFS SUR LES PME:

A) Effet positif: les PME qui exportent davantage de produits spécialisés

S’intègrent dans des chaînes d’approvisionnement internationales et croissent plus rapidement.

 

B) Effet négatif: la mondialisation accroît les menaces qui pèsent sur les PME, lesquelles éprouvent des difficultés à affronter la concurrence même sur ses propres.

 

q    les réformes institutionnelles pour faire face la mondialisation. (réforme de l’université) :

 

Pour adapter la mondialisation et moderniser l’université , le ministre de l’enseignement supérieur a effectué des réformes radicales au niveau de l’université à travers  du passage du système classique au système moderne (LMD), c’est dans cette perspective que s’inscrit la nouvelle réforme des enseignement supérieur, dite « réformes LMD » initiée et mise en œuvre depuis l’année 2003/2004, visant à harmoniser notre système de formation supérieur avec le reste du monde qui vit une juste mondialisation.

Tout le monde ou presque s’accorde sur la nécessité d’une réforme du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il n’échappera non plus à personne que les motifs peuvent être aussi divers que les points de vue.

Tout d’abord, à l’échelle internationale, le secteur est confronté à certaines mutations, à certains enjeux.  Les raisons d’une nécessaire réforme

 

*    Objectifs des réformes :

 

À l’instar des autres pays, l’Algérie tente de moderniser ses institutions pour adapter la mondialisation, et d’entre de ces réformes adoptées par l’Algérie, la réforme de l’institution universitaire.

 

 

Cette réforme a pour objectif:

o        placer l’université algérienne dans le contexte des mutations perpétuelles qui connaît le monde.

o        assurer une formation de qualité répondant aux normes internationales.

o        faciliter l’intégration des institutions de l’enseignement supérieur dans leur environnement économique national et mondial.

o        réaliser une véritable osmose avec l’environnement socio-économique en développant toutes les interactions possibles entre l’université et le monde qui l’entoure.

o       développer les mécanismes d’adaptation continue aux évolutions des métiers.

o        consolider sa mission culturelle par la promotion des valeurs universelles qu’exprime l’esprit universitaire.

o        être plus ouverte sur l’évolution mondiale, particulièrement celles des sciences et des technologies.

o        encourager de diversifier la coopération internationale selon les formes les plus appropriées.

o        asseoir les bases d’une bonne gouvernance fondée sur la participation et la concertation.

Pour répondre à ces défis, l’université algérienne engage une réforme de l’enseignement supérieur qui repose sur :

ü     l’offre d’une formation de qualité pour une meilleure insertion professionnelle,

ü     la formation pour tous, tout au long de la vie,

ü     l’autonomie des établissements universitaires,

ü     et l’ouverture de l’université au monde

 

q    L’impact de la mondialisation sur le fonctionnement des institutions universitaires :

 

Dans le cadre de l’adaptation des changements mondiales qui connaît la planète notamment les mutations technologiques et la production scientifique, les autorités algériennes  met en place un système répondant aux normes internationales, ce système  permet :

Ø      la démocratisation de l’enseignement supérieur et l’égalité des chances entre les étudiants.

Ø      ce système est applicable dans les pays Anglo-saxon, donc le diplôme délivré aux USA ou grande Bretagne est conforme à celui qui délivre aux étudiants Algériens.

Ø     ce système mettre en place des relations avec les universités étrangères dans le cadre de la coopération scientifique internationale. Par jumelage de nos établissements avec les partenaires européens.

Ø      améliorer la qualité de formation par l’acquisition de l’expérience des universités étrangères.

 

Conclusion de la section :

La réforme engagée actuellement est mise au cœur du développement et de l’évolution du système de l’enseignement supérieur Algérien qui doit être :

§         performant, alliant qualité et compétitivité,

§         équitable, garantissant l’égalité des chances;

§         capable de s’inscrire dans le cadre d’une collaboration fructueuse Nord-Sud et également Sud-Sud;

§         géré selon des modes assurant l’efficience avec une vision futuriste te de réactivité basées sur les nouvelles formes de gouvernance;

§         en mesure d'orienter le développement de la Recherche Scientifique et Technologique vers plus d'innovation et de créativité, générant la connaissance et capable de fournir de nouveaux produits à valeur ajoutée en développant davantage la relation Université-Entreprise;

 

Section (3) : la mondialisation et le nouveau système fondé sur la dominance de la finance et du savoir :

 

q    Introduction :

La mondialisation n’est pas un phénomène nouveau dans la mesure où elle poursuit le mouvement historique de développement des échanges internationaux de marchandises et des investissements directs à l’étranger. Mais la mondialisation contemporaine se caractérise par deux changements structurels majeurs :

- l’émergence et la diffusion d’une économie fondée sur la connaissance

- la globalisation financière, avec l’a diffusion d’un système financier mondialisé et l’emprise croissante de la finance sur les activités productives et le processus de développement économique.

 

q  Mondialisation et acquisition des savoirs :

L’intensification des échanges de marchandises, de services, de capitaux, mais aussi de technologie, provoque de profonds changements des pouvoirs de décision au sein de l’économie mondiale, d’autant plus qu’elle s’opère dans un contexte idéologique de libéralisation, de déréglementation et de privatisation. La mondialisation qui repose sur le principe de la concurrence internationale et l’innovation technologique soutenue permet aux entreprises de disposer continuellement d’avantages comparatifs.

Dans ce contexte, le savoir est devenu, plus que jamais, « un déterminant de plus en plus important de la richesse des nations et l’accès au savoir, comme l’aptitude à le diffuser, est devenu une source majeure d’avantage compétitif».

L’avenir et la place des nations dépendront, donc, de leur aptitude à acquérir et à transmettre des connaissances et à les mettre en œuvre dans le travail et dans la vie quotidienne. De ce fait, la mise en place d’enseignements théoriques et pratiques de niveau avancé permet d’exploiter les technologies nouvelles afin de promouvoir le développement économique du pays.

 

q  Le rôle de la finance dans l’émergence et la diffusion de l’économie du savoir :

 

De nombreux auteurs ont qualifié le système économique en cours de formation de capitalisme financier, ou lui ont donné des appellations voisines, par exemple, « capitalisme à dominante financière, « capitalisme patrimonial », « capitalisme actionnarial ». Ces analyses ont pour point commun de postuler que le capital financier domine le processus d’accumulation productive et interagit fortement avec les principales formes d’organisation sociales et institutionnelles. Toutefois, ces différentes constructions théoriques n’ont

Généralement pas cherché à explorer l’hypothèse selon laquelle les formes prises par le capitalisme financier seraient étroitement liées à l’émergence et à la diffusion de l’économie du savoir.

Ø   La finance comme vecteur de gestion de l’incertitude, de valorisation et d’appropriation de la connaissance :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conclusion générale :

 


Bibliographies :

 

En français :

& CHEMS EDDINE CHITOUR, « Mondialisation, l’espérance ou le chaos », édition, ANEP, année, 2002.

& ALAIN NONJON, « la mondialisation», édition : SEDES, France, année, 1999.

& David BOLDUC, « l’ère de la mondialisation », édition, économica, paris,1999.

بالعربية:

&  ممدوح محمود منصور، "العولمة دراسة في المفهوم و الظاهرة و الأبعاد"، دار الجامعة الجديدة للنشر، الإسكندرية، 2003.

 

Site d’internet :

:www.lamondialisation.org.

:Google :

 



[1] Abderrahmane MEBTOUL, article publié sur l’internet par l’expert international.

[2]  ممدوح محمود منصور، "العولمة دراسة في المفهوم و الظاهرة و الأبعاد"، دار الجامعة الجديدة للنشر، الإسكندرية، 2003، ص.13.

[3] CHEMS EDDINE CHITOUR, « Mondialisation, l’espérance ou le chaos », édition, ANEP, année, 2002, P, 17.

[4] ALAIN NONJON, « la mondialisation», édition : SEDES, année, 1999, page, 33.

[5] David BOLDUC, « l’ère de la mondialisation », édition, économica, paris,1999, p.35.

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